Notre voyage humanitaire
Nous sommes intervenus dans la partie Nord-Ouest de la Roumanie.


Les contacts que nous avons par l’intermédiaire de l’association LARM36 se situent dans les régions de Baia Mare et Satu Mare.
L’école de Remeti
Les dons furent dans un premier temps acheminés jusqu’à l’école de Remeti.
Cet établissement qui rassemble 1200 élèves, répartis dans une école primaire et un collège, est situé à la frontière entre la Roumanie et L’Ukraine.
C’est le directeur qui nous a accueillis. Le contact a pu être établi rapidement car celui-ci parle Français. Les habitants du village de Remeti nous ont aidés lors du déchargement des dons à l’école.
Nous avons ensuite joué avec les enfants de l’école qui découvraient leurs nouvelles tables de ping-pong et leurs nouveaux ballons de basket. L’accueil fut très chaleureux et ce premier dépôt de dons fut un des évènements marquants de notre voyage.





L’Hôpital de Sarasau
La deuxième étape de notre distribution de dons s’est déroulée à l'hôpital de Sarasau. Cet établissement est dirigé par le docteur Ioan Pop . Il est composé de vingt chambres et se situe lui aussi près de la frontière Ukrainienne.
Là encore l’accueil de la population fut chaleureux, les habitants encore une fois nous donnèrent un petit coup de main pour décharger le camion. Nous avons déposé à l’hôpital tout le matériel médical rassemblé en France ainsi que du savon et des produits d’hygiène.



Les orphelinats
Enfin la dernière étape de la distribution fut les orphelinats « Centrul de Zi» et « Centrul de plasament » à Sighetu.
Le premier établissement est un orphelinat pour les enfants en bas âge ; c’est à dire jusqu’à 12 ans. 80 enfants dépendaient de cet orphelinat.
Le second est un orphelinat pour adolescents ; c’est à dire les enfants de 12 à 18 ans. 30 enfants dépendaient de cet orphelinat.
Nous n’avons malheureusement pas pu prendre de photos à l’intérieur des orphelinats car une loi protège les droits à l’image des enfants en Roumanie.
Là encore nous avons déposé plusieurs cartons de vêtements, de jouets, et de produits hygiéniques. De plus nous disposions de fonds pour effectuer des achats sur place de ballons, livres ou encore de brosses à dents que nous avons par la suite offerts aux orphelinats.
Nous avons joué ensuite avec les adolescents du « Centrul de plasament » à des sports collectifs et des activités en tout genre telle que le jonglage.
Cela fut aussi un grand moment de plaisir partagé avec ces adolescents malgré les difficultés de compréhension qui existaient. En effet très peu parlaient anglais ou français.





Le jonglage dans la rue
Après avoir remarqué que le jonglage remportait un franc succès auprès des plus jeunes nous avons décidé de jongler dans la rue et de distribuer les dernières peluches et objets aux enfants qui participaient au jonglage ou qui s’arrêtaient simplement pour regarder.
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